Trans Dimitile 09/12/07

Les résultats du dimanche de notre sortie dans le sud à l'Entre Deux. Bravo à tous et merci pour ces bons moments.
Class.Déniv Prénom Nom Chrono Class.Scratch
1 THIERRY CHAMBRY 3:04:14 4
2 ERIC LACROIX 3:14:01 11
3 DANY MASSEAUX 3:30:19 35
4 GINO LEE SONG YIN 3:38:17 49
5 VIVIANE FANCHIN 3:47:20 75
6 PASCAL ANTONIOTTI 3:51:19 87
7 PASCAL NIEDZWIEDZINSKI 3:51:38 88
8 PATRICK GIRAUDET 3:54:50 94
9 MARC LEVY 4:05:32 143
10 SULLY THEVENIN 4:08:23 155
11 PHILIPPE CROZET 4:23:59 224
12 ERIC PALENGAT 4:30:54 251
13 JEAN FRANÇOIS VELIA 4:49:25 330
14 J. LANDAIS 4:52:29 347
15 PASCAL BRUGERON 4:54:46 355
16 STEPHANE HOAREAU 5:04:54 388
17 REGIS BERNACHON 5:07:58 398
18 CLAUDINE FAUSTIN 5:19:08 425
19 MATHIEU CESA 5:25:10 448
20 CEDRIC MACASSARD 7:49:01 randonnée
MICHEL HENRI ???
ANNYSE BOMART FORFAIT

Faites pas la gueule la section des chapeaux, on peut pas toujours gagner.



photo L.G.

Bonjour,
un petit mot pour remercier"encore une fois" Jhonny et Pascal pour la mise en place (la veille) du stand et pour le super moment de convivialité qui a suivi les arrivées.
Bravo à Gino et Viviane(en super forme) pour leurs temps ,sans oublier tous les autres déniviens qui ont eu le mérite d'arriver.....
A mardi...

Merci Pascal N. et merci tout le monde.

J'vous raconte ma course.

Départ : sensations pas très bonnes. Je suis avec Patrick. Je le sens plus à l'aise, je lui dis d'y aller, de faire sa course, bref de ne pas forcément vouloir rester avec moi. Marc et Viviane ne sont pas loin. Coup d'oeil au cardio : 162.

Première grosse côte (toujours sur le goudron) : je marche (déjà !), mais je vais pas moins vite que ceux qui court.

Début sentier : 16', annonce Marc. Patrick est là aussi. Je ne vois plus Viviane, elle est devant. Il y a un ralentissement, le cardio indique 145. Ensuite, Marc, Patrick et moi commençons à dépasser, dépasser, dépasser... : ça y est, je suis dedans, les sensations sont bien meilleures, on y va.

Premier pointage sur le sentier : 149ème, me dit Patrick. Je ne vois plus Marc. On continue à dépasser, dépasser, dépasser... On voit Viviane, qui aimerait aller plus vite mais c'est pas évident de dépasser. Viviane, Patrick et moi restons ensemble un long moment. Je n'arrête pas de demander des infos sur la course (profil et chrono) aux coureurs qu'on dépasse. Ensuite, Viviane et moi décidons d'accélérer. Patrick est un peu derrière mais pas loin, je pense. On fait une belle montée et une belle remontée au classement. Viviane a un altimètre et ça aide pour savoir où on en est et gérer l'effort.

Un peu avant le sommet : on voit Pascal N., qui a respecté sa tactique (ne pas trop traîner au départ pour ne pas subir les ralentissements de début de sentier). Il me dit qu'effectivement il n'y a pas eu de ralentissement pour lui, contrairement à nous.

Enfin le ravitaillement du sommet : 1h46'. Viviane, Pascal, Patrick et moi pointons quasiment ensemble. On repart.

Début descente : là, j'y vais, je me fais plaisir. Et je me retrouve tout seul. Mes camarades déniviens m'ont abandonné. Coup d'oeil au cardio : 138.

Pascal P. : je vois un photographe portant un beau chapeau. Pardon aux autres déniviens qui l'accompagnaient, je n'ai vu que lui. Pascal P. annonce : "6ème DENIV !" Je me demande qui sont les 5 devant.

Suite descente : je vois Pascal A., qui a dû pointer au sommet 1' ou 2' avant nous. On s'encourage mutuellement. Il me laisse passer. On y va !

Bifurc. pas balisée : je suis dans une partie de la course où on peut donner, alors je donne, ça va vite. 2 possibilités, je cherche désespérément une rubalise, il faut prendre une décision rapidemment, je prends à droite (coup d'bol !). Mais j'ai des doutes, ralentis, me demande si je me suis pas trompé. Les 2 ou 3 gars qui arrivent ne savent pas n'ont plus, ça cause beaucoup, ça a beaucoup ralenti (Comment aller vite alors qu'on se demande s'il faut pas faire demi-tour ?). Pascal A. nous rattrape, il ne sait pas non plus. On continue à avancer sans savoir et on a vraiment su que c'était le bon chemin quasiment au ravitaillement suivant.

Fin de course : ça chauffe, ça chauffe, ça chauffe. Dernière heure, kamel vide. Le temps paraît long entre les ravitaillements. Les dernières montées ne se font pas très vite.

Dernier ravitaillement : on boit et on repart. Bitume + déniv négatif = ça tape fort jusqu'à l'arrivée.

1H46 la montée !!!! j'étais à 7 min derrière. Mais la grosse différence s'est faite dans la descente et les dernières "bosses de chameaux" : plus de 20 min d'écart à l'arrivée. Décidément, je ne m'y fait pas à la chaleur de DIMITILE

Tu parles que ça a chauffé. J'ai bu 1l avant la course, entre 3l et 3,5l pendant (1,5l kamel + 2 gobelets par poste, même 3 à la fin) et après la course, j'ai plus compté.

Salut

Qeulques photos en cliquant ci dessous (aidez moi, il me manque un prénom)
http://runrandonneur.spaces.live.com/photos/

Ma course avec Gino, notre "trail reporter" et "super ambiancer" !

Pendant les 15 premières minutes, pas très causant le Gino, pas encore très chaud .
Ensuite, durant 30 min, c'est monsieur interview, au sujet du fameux temps de montée, avec ceux qu’on double et qui connaissent déjà le parcours ! :o
Puis vient le contact visuel avec Viviane qui est à qq places devant « Ohé, c'est Gino, y a aussi Patrick, on arrive… », alors se forme à trois un train Deniv : Gino devient jusqu’au sommet un vrai conducteur « Soyez sympa devant, laissez passer la 2eme féminine SVP, c’est une place sur le podium… », ce qui explique un peu que l’on a pu dépasser, dépasser, … mais quand le précipice était trop près, le 3eme wagon que j’étais n’a pas pu suivre !
Arrivés quasi ensemble au sommet, je n’ai ensuite plus revu Gino le super descendeur. Qu’a-t-il encore raconté pour dévaler aussi vite ? Qu’a-t-il chanté aux oiseaux ?
A la prochaine course, Gino embarque avec une caméra !
En tout cas, Gino, c'est super de faire une partie de course avec toi. Je fais le pari qu’un jour, je la finirai avec toi … Et bien placé !

PAT

Patrick,

Pour moi aussi, c'était super de faire toute la montée avec toi. On s'marie quand ?

Sur la course tu disais que t'étais un diesel, on dirait que je suis encore plus diesel que toi. Au départ, le plan c'était que je sois ton lièvre et c'est toi qui l'as été pour moi dans le premier quart d'heure. Marc et Viviane l'ont été aussi dans une moindre mesure. Merci à tous les 3.

Quand je parle pas, c'est que ça va pas. Serge Billard en sait quelque chose : il a été mon lièvre toute la nuit sur le Grand Raid, il a pu apprécier le bruit du silence en ma compagnie.

Dommage que t'ais pas pu commencer la descente avec moi. "Prendre la roue" de quelqu'un qui descend mieux que toi, c'est le bon plan. Une fois, j'ai fait le sentier Mercure avec Christian Paris, Bernard Dijoux, Gerry Perrault, Georges-Marie Hoareau, Didier Gauvin, Bernard Ramin aussi je crois (que du beau monde !). Dans la descente, je me suis amusé à suivre Gerry Perrault. J'ai tenu que quelques secondes, mais pas sûr que j'sois allé plus vite que ça depuis. Donc si un jour, je peux être ton Gerry Perrault lors d'une course à descente, ce sera avec plaisir et on arrivera ensemble... et tu fais bien de préciser "bien placé" parce que si on arrive ensemble après une défaillance de ma part, c'est moins bien quand même.